Akiyama Yasuko feat Tsuchiya Anna Sexe - Une femme, apparemment. Née le - 22 juillet 1991 Âge - 20 ans. Origine - Yasuko a des origines très variées. Comme un seul mot ne pourrait les décrire, expliquons. Son père est un japonais de pure souche, sa mère est américano-coréenne, mais la jeune femme a également du sang irlandais et russe qui coule dans ses veines. Orientation sexuelle - Bisexuelle. Section - Commerce et droit. Année - Troisième année.

• avec les autres - Yasuko est une jeune femme à l’apparence très hautaine. Elle a une confiance infinie en soi et aucun doute ne la traverse jamais. Elle veut se montrer forte. Son exemple depuis toujours est son père. Elle a hérité de sa force de caractère. Les inconnus ne la verront jamais pleurer. Elle a appris il y a longtemps à garder ses sentiments et ses émotions bien enfouis au fond d’elle. C’est son tempérament qui la rend ainsi et souvent, aux yeux des autres, elle passe pour une fille au cœur de pierre qui réagit systématiquement avec calme et confiance. En quelque sorte, elle semble être quelqu’un sur qui on peut s’appuyer. Elle ne refusera jamais son aide, même à un inconnu. C’est une fille qui a des valeurs bien posées. Elle sait rester polie quoi qu’il arrive. Il est rare que quiconque parvienne à l’énerver. Si les gens la jugent sur son apparence ou son comportement et que ce jugement est négatif, à quoi bon s’en soucier. Ils ne la connaissent pas. Qui la connaît mieux qu’elle-même ? Quand elle vous sourit, impossible de savoir à quoi elle pense. On lui a souvent répété que les petites pommettes qui se forment au creux de ses joues quand elle sourit sont tout simplement irrésistibles. Il est vrai qu’avec son sourire, on lui offrirait le bon dieu sans confession. Ce n’est pas pour autant qu’elle s’en sert pour manipuler les gens. Là encore ça ne fait pas partie de ses principes. Yasuko est, aux yeux des autres, une femme inébranlable, toujours sûre de ses choix et de ses convictions qui n’a pas peur de les revendiquer. C’est bien pour ça qu’on a inventé la liberté d’expression, n’est-ce pas ?
  
• avec ses amis - Avec ses amis, Yasuko n’est pas bien différente de d’habitude. Si ce n’est qu’elle est plus ouverte. Alors que les gens la verront rarement rire, elle ne s’en prive pas avec ses amis. Elle redevient l’adolescente de vingt ans qu’elle est censée être. La jeune femme possède une personnalité assez flegmatique. Tout en elle respire le calme et la douceur. Elle est toujours posée, attentive et composée. De l’extérieur, elle donne l’impression d’une fille tranquille qui aime se laisser porter par le flot de la vie. Mais ce n’est pas le cas. Elle prend les décisions pour tout le monde. Si, quand elle est avec ses amis, personne ne sait quoi faire, elle va toujours trouver quelque chose même si ça paraît fou ou irréalisable. Quand un ami a besoin d’elle, même si elle n’est pas très douée pour le faire, elle tente toujours de le consoler. Dans sa tête, elle aura beau penser quelque chose comme « C’est la vie, il faut faire avec et être simplement fort », elle va tenter de le formuler plus gentiment. C’est une femme très câline, très tactile, qui a besoin de toucher les gens.
  
• avec ses conquêtes - Voilà son point faible. Ses histoires amoureuses. Amoureuses est un bien grand mot. On ne peut pas dire qu’elle tombe très souvent amoureuse. Rarement, voire même jamais. Seulement, quand elle rencontre un garçon qui lui plait, qui la rend heureuse, même temporairement, pourquoi s’en priver ? Qu’il y ait deux en même temps ne la dérange pas pour autant. Elle ne veut pas les blesser, ni leur briser le cœur alors avant de commencer quoi que ce soit, elle s’assure automatiquement qu’ils ont bien compris que ça ne sera sûrement pas du long terme et qu’elle ne peut pas choisir, que si elle rencontre quelqu’un d’autre, elle ne veut pas de jalousie.

• global - « Les gens ne savent rien des yakuzas. Je suis beaucoup plus respectable depuis que je suis devenue yakuza. Je ne comprends pas pourquoi nous sommes toujours victimes de discriminations. Nous sommes des êtres humains, comme tout le monde. »
  
  C’est dans cet esprit-là que l’histoire de Yasuko débute, un vingt-deux juillet au sein du quartier chaud de Tokyo, le Kabukicho. A quoi bon naître dans ce quartier si ce n’est pas pour naître au milieu des yakuzas ? C’est pile ce qui s’est passé avec elle. Elle était censée naître en lui. Manque de bol, le gynécologue ne semblait pas très bien informé. Il est parti quelques jours après la naissance de Yasuko et plus personne n’a entendu parler de lui par la suite. Quoiqu’il en soit, c’est bien une petite fille qui a fait son arrivée dans la famille Akiyama. Si sa mère était ravie, son père était néanmoins un peu déçu. Vous imaginez bien que le chef du clan Akiyama désirait un garçon pour prendre sa relève afin de ne pas avoir à confier la tête du clan à un autre membre. Akiyama Saori ne l’a pas supporté bien longtemps et l’a clairement fait comprendre à son mari. Un mari qui pourtant, a toujours été digne et respectueux des traditions, qui aime malgré tout sa fille et sa femme. Seulement, quand Saori a demandé le divorce, il s’est avéré que toute sa famille l’avait abandonnée lorsqu’elle s’était mariée à un yakuza. La garde de Yasuko a été attribuée à son mari Hisato. De nombreuses années, il l’a élevée à l’aide d’une nourrisse comme une petite fille normale. Cependant, la petite fille voyait bien la déception dans les yeux de son père à chaque regard qu’il lui jetait. Elle voyait bien que, malgré l’amour qu’il lui portait, il aurait voulu un garçon. A la maison, il ne parlait jamais de ce qu’il faisait. Tout ce que Yasuko avait le droit de savoir était son appartenance au clan Akiyama, et croyez-le ou non, elle a compris très jeune que son père ne faisait pas affaires avec des gens obligatoirement respectables. Quant à Hisato, il pensait dur comme fer que le rêve de sa princesse était de devenir chanteuse – comme à peu près toutes les adolescentes direz-vous – jusqu’au jour où à l’âge de dix-sept ans, elle est venue le trouver à son lieu de travail. Elle n’était même pas censée savoir où il travaillait et ce n’est qu’après qu’il a trouvé le traître qui s’avérait être un membre nouvellement arrivé tombé amoureux de sa fille. Evidemment, il ne lui a rien refusé et a assumé les conséquences. Il a plus ou moins disparu du jour au lendemain. Quand Yasuko s’est inquiétée de savoir où il était, on lui a simplement répondu qu’il avait été envoyé en mission dans une autre ville où un groupe du clan était implanté. Elle n’est même pas allée chercher plus loin. Revenons à ce jour où elle a débarqué en pleine réunion du conseil. Quelle surprise pour l’oyaji Akiyama de voir sa fille débouler comme un tank dans la salle. Sans prêter le moindre regard aux autres membres du clan, elle s’est plantée devant le fauteuil où était assis son père et s’est inclinée à la perpendiculaire.
  
  
  « Otou-sama, je suis venue vous demander de me laisser intégrer le clan. »
  
  Ses mots sont sortis et se sont abattus sur la salle comme un couperet. Elle n’en a pas rougi, gardant les yeux fixés sur son père, et s’est redressée. Des rires ont retenti derrière, ceux des deux lieutenants. Quand son père s’est enfin levé, le silence a repris le dessus. Il y avait un nouveau sentiment dans ses yeux, de la fierté mélangée à de la peur. Contrairement à ce qu’elle pensait, il n’a pas tenté une seule seconde de l’en dissuader et malgré les arguments en tout point valables de ses lieutenants, il n’a rien fait. Ils avaient pourtant raison apparemment. Elle n’aura jamais la force d’un vrai yakuza, les femmes sont tellement influençables, elles se laissent facilement séduire, elle pourrait tomber entre les mains d’un autre clan qui pourrait l’utiliser pour les faire chanter.
  
  
  « Je suis sûr que Yasuko sait pertinemment qu’à partir du moment où elle intègrera le clan, elle ne sera plus ma fille ici. N’est-ce pas, Yasuko ? »
  « Absolument. »
  
  Crue sur parole. Être la fille de l’oyaji ne l’a pas empêchée de suivre six mois d’apprentissage comme cérémonie d’intronisation. Entre l’apprentissage aux arts martiaux, les règles du clan et aux éléments importants de leur système de vie, elle n’a pas dit ouf pendant six mois. Ne jamais salir la réputation du clan, saluer correctement un supérieur du clan, ne jamais quitter quelqu’un des yeux même en saluant pour ne pas devenir une cible facile, baisser uniquement les yeux devant l’oyaji et les membres de rang supérieur, ne jamais leur parler en croisant les bras sur la poitrine ou les mains dans les poches, ne jamais être en retard, ne jamais hésiter, endosser la responsabilité de ses actes et ne pas se reposer sur qui que ce soit d’autre, considérer le clan comme une famille et ne pas jouer seul, ne pas renoncer à un argument avec un membre d’un autre clan quand il a tort, ne pas se faire remarquer par la police, ne pas abandonner des négociations et ne pas faire de concessions pour obtenir ce que l’on souhaite, rester calme en toutes circonstances et surtout, ne jamais perdre l’enthousiasme qu’on avait en entrant dans le clan. Sans parler des autres membres qui la taquinent constamment car avouons-le, une femme dans un clan est très rare. Au sein du clan Akiyama, elle est la première. Les chefs se sont toujours succédés de père en fils et voilà que cette jeune blondinette venait bouleverser les traditions. Et tout cela sans abandonner les cours. C’était le deal qu’ils avaient fait une fois seuls chez eux. Elle entrait dans le clan à la condition de redoubler d’efforts dans ses études. Yasuko était d’accord avant même de connaître cette condition. Suite à la cérémonie intronisation, elle s’est cherché un petit boulot pour aider le clan. Son père a immédiatement refusé son argent pour qu’elle puisse d’abord économiser pour elle. Pour ses études futures disait-il. Elle savait exactement ce qu’elle voulait faire. Une de ses amies coréennes allait rentrer au pays suivre des cours à la Yeon University. Elle en parlait comme un paradis. La meilleure université d’Asie de l’est disait-on. Le coût était élevé évidemment, mais ce n’était pas très problématique pour la famille Akiyama. Régnant sur l’immobilité tokyoïte, Hisato n’eut aucun mal à payer des études à sa fille. Autant dire qu’elle n’est pas restée longtemps dans le clan à Tokyo. Sans pour autant le quitter – jamais de la vie, dirait-elle – elle est partie en Corée faire ses études, dans l’espoir un jour de reprendre le flambeau de son père.
  
• scolaire - En ce qui concerne ses études, Yasuko est ce que l’on peut appeler une élève sérieuse. Elle se consacre principalement à ça et ne supporte pas l’échec. Quel échec, on se le demande puisque depuis son enfance, elle a suivi une scolarité exemplaire. Elle a tout de l’enfant surdouée, sauf le QI qui la rendrait officiellement surdouée. Seulement, elle a beaucoup de mal à intégrer les cours en ne les révisant qu’une seule fois, c’est pourquoi telle Hermione Granger, vous la trouverez souvent avec un livre ou un classeur dans les mains à réviser. Cela ne veut pas dire qu’elle ne fait que ça, mais quand elle s’y met, il vaut mieux que personne ne vienne la déranger ou elle saurait se montrer particulièrement dissuasive.

• apparence générale - Yasuko, rien que d’après son prénom, est une fille pas comme les autres. Tout en elle respire la délicatesse. Pourtant, elle n’est pas des plus féminines. Elle a un petit visage fin et pointu. Mélange de Japon et d’Amérique qui fait sa beauté. Ses grands yeux noisette ne sont pas excessivement tirés mais semblent toujours sourire. Un petit nez fins et légèrement retroussés qui lui donne un air snob quand elle boude - et cela arrive souvent - mais qui faisait la joie de son père qui s’amusait à le lui pincer gentiment. Depuis, elle frappe quand on ose le toucher. Elle a des lèvres pleines, en forme de cœur, très fréquemment étirées pour sourire. La belle ne se couche jamais sans avoir mal aux zygomatiques. Elle n’est pas particulièrement petite, grâce à ses origines américaines, mais toute frêle. Cependant, elle sait se servir de ses poings même si en général, c’est de sa tête dont elle se sert. Et elle peut faire particulièrement mal. Ses mains, tout comme le reste de son corps, sont fines et délicates, avec des os saillants. Ce n’est pas de la maigreur. Elle mange comme quatre mais ne grossit pas. Malgré toute cette féminité, la seule chose qui la dérange chez elle, c’est sa voix, assez grave quand elle parle calmement et éraillée comme un vieux quarante-cinq tours rayé quand elle hausse le ton.
  
• style vestimentaire - La jeune femme s'habille toujours très classe, élégamment. Elle ne supporte pas une tenue mal assortie ou un peu trop débraillée. Souvent, on la prend pour une femme de vingt-cinq ans alors qu'elle n'en a que vingt. Elle n'a pas de style bien particulier. Non seulement, elle peut se vanter de rentrer dans tout et n'importe quoi, mais en plus, elle a ne fonctionne qu'aux coups de coeur. Si un vêtement lui plait mais sans plus, elle ne l'achète pas. La demoiselle a des goûts de reine, en plus de cela, mais elle peut se le permettre et de loin.
  
• signes particuliers - Elle possède en tout douze percings, cinq à l'oreille droite et sept à la gauche. En ce qui concerne ses tatouages, ils se trouvent sur ses reins : une pivoine jaune avec une vipère et un phoenix avec une fleur de lotus. Et bientôt un tatouage sur les omoplates, signe de son appartenance au clan de son père.

Spoiler:

Merci beaucoup : )

Anna. *w*

Bienvenue & fighting pour ta fiche !

Eun Hye ; Merciiii ♥

MaPetiteFille ; AAAAAAAAAAAAAAAH MA CHERIE ! ♥
Merci, mon petit bébé ! Tu vois je viens même te surveiller ici <3

Merciii :3
Je sais bien qu'elle a 27 ans, mais je préfèrerais ne pas la vieillir. Après tout, on trouve bien d'autres célébrités de son âge que les membres descendent à 18 ans voire moins :p Je peux lui mettre 20 ans mais bon.. J'aurais préféré garder ses 19 ans. :)

Et pourtant :p Bon je lui mets 20 ans alors... : )

Merci :3

J'ai monté à 20 ans et je ne préfère pas la vieillir plus, comme je l'ai dit ^^' Quant aux photos d'Anna plus jeune, disons qu'elles se font rares. En plus j'ai presque terminé son histoire et lui rajouter encore des années ferait un grand blanc dans sa vie, donc si ça n'embête pas, je ferais de mon mieux pour qu'elle ait l'air d'avoir 20 ans, mais j'aimerais ne pas avoir à changer m(_ _)m
Par ailleurs cet avatar est juste provisoire, j'attends d'avoir fini ma fiche pour m'y consacrer :P

Merci beaucoup ! Voilà j'ai justement fini ma fiche (je sais l'histoire est longue) alors j'espère que ça ira :D

Sankyuuu~
Yong ? Je croyais que les clans étaient réservés aux PVs O.o