Song Su Ji
Joker
AVATAR : Minzy ♥ AGE : 31 SITUATION : x TUTORAT : IN MY MIND :
내가제일잘나가 ~ ♛
N'aime pas les Yongs, les Waikins, les Gongjus, les PlayboyZ & les Saijous, ça passe. 'cuz the JOKERS ARE THE BEST CREW&BAND EVER !
| Sujet: Song Su Ji -IAMTHEBEST. Dim 7 Aoû - 17:07 | |
| | Song Su Ji feat Minzy (2NE1)
Sexe - F Née le - 24/06/1992 Âge - 19 ans Origine - Coréenne Orientation sexuelle - Bisexuelle Section - Langues & Arts Année - Deuxième Clan - X |
Comment se comporte votre personnage - avec les autres - Peu sociable. Elle est le genre de fille à qui on n’ose adresser la parole. Impressionnante peut-être, mais surtout très agressive et provocante. Pourtant, elle n’est pas spécialement méchante, mais son tempérament de feu, son franc parlé et le soupçon de vulgarité dans sa bouche ne lui attire que les foudres de ses camarades. Elle parle, elle parle, dit tout ce dont elle a envie, sans censure. Elle devrait peut-être modérer ses propos, souvent on lui fait la remarque : des gros mots dans la bouche d’une jeune femme ce n’est pas très jolie. Mais que croyez-vous qu’elle leur réponde ? Un dégueulement de vulgarité en tout genre. Elle se fiche bien de l’avis d’autrui, elle agit sans prendre garde aux conséquences de ses actes. Spontanée. Impulsive même. Su Ji est encore une enfant après tout, immature jusqu’au bout des oncles. C’est une tête brûlée, qui n’hésite pas à rentrer dans le tas. Trop fière pour admettre ses erreurs et se laisser marcher sur les pieds. De ce fait, elle n’hésite pas à lever le poing afin de régler ses problèmes. Et ce qui pourrait la perdre est ce trop plein d’estime qu’elle a pour elle-même. Elle part du fait que dans n’importe quelle situation, elle pourra toujours s’en sortir et ce, haut la main.
- avec ses amis - Ah, les amis. C’est la vie ! Il est vrai que Su Ji a grandi dans un environnement extrêmement pauvre, où on apprend à apprécier la vraie valeur des choses, en Thaïlande. Mais une fois à Séoul, elle n’a pas perdu cette sale manie de voler les portefeuilles un peu trop pendant des sacs dans les rames de métro. Cleptomane sur les bords, oui, c’est si facile pour elle, elle est d’une discrétion incroyable. Mais lorsqu’il s’agit de ses amis, elle donne tout. « Oh il est jolie ton t-shirt ! », d’accord. Elle le retire aussitôt pour vous le tendre. Le cœur sur la main. Elle est pour ce dicton qui prône : « Quand on aime, on ne compte pas ». Et elle est adorable quand on prend la peine de bien la connaitre. Protectrice envers ses cadets, attentionnée envers ses ainés. C’est un excellent élément dans un groupe. Elle s’implique corps et âme, c’est une passionnée et ne fait jamais les choses à moitié. Au contraire, elle a même une tendance à tomber dans l’excès. Su Ji est une boule d’énergie, active et dynamique. Bonne joueuse et dotée d’un grand esprit de compétition par-dessus le marché. Il le faut naturellement, pour cette grande sportive.
- avec ses conquêtes - Son plus grand amour reste ces grandes glaces où se reflète son image dansante. La danse est sa plus grande passion, après avoir abandonné la boxe thai. Et tout naturellement, la jeune femme tombe facilement amoureuse des beaux danseurs, doués, musclés, débordant de charisme. Son péché mignon. Mais les sportifs en général, en fait. Et s’ils sont bourrés de frics pour lui faire des cadeaux, c’est pas plus mal ! Elle s’amuse aussi à enchainer les relations très rapidement, car elles sont la plus part du temps de très courte durée. Ces histoires se finissent souvent en catastrophe aussi. Elle a une forte tendance à s’emballer vite, beaucoup trop vite et se lasse tout autant que son partenaire. Cependant, on ne peut nier qu’elles ne soient pas passionnées. Elles le sont, enflammées même. De plus, Su Ji n’est pas du genre à s’imposer des limites, à l’inverse, elle les faits toutes explosées. Alors, embrasser une fille ne la révulse en aucun cas. Ca lui est arrivé. Mais encore une fois, avec des personnes éclatantes de beauté, de charisme. Et de tunes.
Parcours personnel - global - Bangkok. La ville qui ne laisse personne indifférent. Le jour, elle cède une aura exotique, délicieuse à laquelle les touristes sont complètement charmés, envoutés même. Su Ji, elle, va à l’école avec ses amis. Ses origines sont coréennes, toutefois, elle naquit dans cette ville. Les cheveux courts, souvent pieds nus, elle marche avec une certaine assurance, elle attire les regards. Les habitants la reconnaissent, la saluent. Elle répond. Un quotidien banal dans cette petite banlieue non loin du centre.
Une fois la nuit tombée, la capitale revêtit cette allure affriolante, déconseillée aux mineurs. Su Ji rentre chez elle. Un studio pas bien grand, mais du lequel son père, son frère et elle ont appris à dompter le peu d’espace. Le patriarche l’attend dans la cuisine, le repas sur la table. Il lit le journal. Il aime l’économie, la mondialisation, c’est ce qui l’intéresse. Quant à son frère ainé de six ans, il est enfermé dans sa chambre. Il y passe le plus clair de son temps à bidouiller, monter, démonter des ordinateurs. L’informatique, la technologie en général sont ses principaux centres d’intérêts, si ce n’est les seuls. La jeune fille, à peine adolescente, rejoint sa pièce. Elle ne boit, ni ne mange. Elle se prépare, s’enduit d’huile pour le corps, ainsi les coups glisseront mieux. Un simple short, un débardeur l’habillent et, enfin, elle range soigneusement des gants dans son sac. Su Ji fait de la boxe thai, sport populaire dans ce pays qui en est fondateur. Tout les coups sont permis : visage, côtes, peu importe la cible, peu importe la façon pour mettre son adversaire chaos. Elle a toujours été une bonne vivante, sportive, vive. D’elle-même, elle décida de monter sur le ring dès l’âge de dix ans afin d’aider sa famille. Car ici, chaque combat rapporte sa somme d’argent. Son père est contre, mais étant un petit commerçant, il ne peut se permettre de cracher sur ce fric. Qui plus est, Su Ji en est la dernière gênée, elle raffole de ces combats où elle libère une rage sortie de nulle part. Les hurlements de la foule, malsaine, épris de ce genre de spectacle, lui apporte un lourd sentiment de satisfaction. Championne, sa côte de popularité grimpe et bientôt elle devient la favorite du peuple.
Le soir, lorsqu’elle sort de son match, elle traverse ces quartiers « chauds », grouillant de prostituées de toute forme, de touristes aux regards malveillants. Néanmoins, plus rien ne la choque, ne la perturbe, ni ne la touche. Su Ji se voyait bien continuer ainsi jusqu’à la fin de sa vie. Mais. Son grand frère aussi brille dans sa discipline. Après ces dures années d’acharnement au travail, on lui offre enfin un poste important dans la célèbre compagnie Samsung. Une famille de trois pour seulement deux billets d’avions. Le choix est vite fait, Su Ji et son frère emménage au pays du matin calme. Cette dernière âgée alors de seize ans, est rapidement gagnée par la nostalgie. Son père lui manque, son taudis aussi. Ici, elle ne trouve pas d’autre domaine que la connerie pour s’illustrer. Son ainé la gâte, lui offre des beaux vêtements, pourtant, elle vole discrètement des gens dans le métro ; pickpocket. Sale vice. Elle traine toujours dans les rues de Séoul avec des personnes peu fréquentables. Une vie de débauche qu’elle affectionne tout particulièrement. Mais par hasard, un soir d’hiver, elle s’arrête devant une boutique d’électronique. En vitrine, elle admire les écrans high tech, luisants, brillants, flambant neufs. Mais son regard fut brutalement attiré par le programme diffusé : un direct. Sans qu’elle ne le remarque, une foule s’était agglutinée derrière elle, bruyante et supportant une équipe, ou plutôt, un crew. La première fois qu’elle vit un spectacle pareil ; la musique, un jeu de lumières, des mouvements tantôt amples, tantôt petits et rapides. Charmée. Elle s’essaya naturellement à la danse. De rue, évidement. C’est une autodidacte, elle enchaine les mouvements, apprend, prend exemple sur les stars les plus connus. Elle se montre incroyablement douée. Elle excelle et en fait son nouveau domaine, espérant secrètement de monter une nouvelle fois sur les devant d’une scène.
Après le lycée, en général, on rit moins. Su Ji fut contrainte de faire de choix, de prendre une décision. Sans réellement y croire, elle s’inscrit sur les listes de la Yonsei Université. Cet établissement pue la classe d’après elle. Le concours d’entrée ne fut pas des plus simples, mais avec deux trois astuces, du genre, tricherie, elle avait sa petite chance. Oui, une chance monstre. Su Ji est acceptée, rejoint la section Arts & Langues avec une envie nulle de travailler. Danser, rire, c’est tout ce qui l’intéresse.
- scolaire - Les études ? Sa bête noire. Depuis ses premiers pas dans le cursus scolaire, elle a des soucis de concentration et de discipline. Pourtant, elle se force à rester discrète, dessinant dans son coin dans le fond de la classe. Mais si les professeurs ont le malheur de l’interroger, elle n’hésite pas à faire à front et se montrer particulièrement effrontée. Une sauvageonne à la langue bien pendue, qui a un don particulier pour envoyer ses tuteurs en arrêt maladie ; dépression. Qui plus est, Su Ji n’a aucune des qualités requises pour briller dans les études. Elle est d’une flemmardise infinie, désordonnée et négligente. Sa meilleure amie est la tricherie et grâce à elle, elle passe de justesse à la classe supérieure.
Détails physiques - apparence générale - Petite, cent soixante centimètre environ et pulpeuse. Oui, Su Ji a des formes et des belles en plus. Elles sont été soigneusement sculptées par des heures et des heures d’entrainement. La boxe thai lui avait déjà permis d’acquérir une agilité, une souplesse et une vivacité hors normes. Et avec la danse, elle continue à entretenir ce physique, cette plastique de rêve. Non pas celle des magazines de modes, mais celle des vraies filles. Ensuite, elle n'a jamais que porter les cheveux en coupe court. Question de pratique, elle a bien essayé les perruques mais son carré dans la nuque lui convient bien mieux. Elle s'amuse d'ailleurs à les teindre en des couleurs insolites. On la remarque de cette façon ! Sa peau est parfaite aussi, ses yeux noirs naturellement, et voilà. Une jolie coréenne.
- style vestimentaire - Stylish. Il faut que ça claque, que ça se voie et qu’on dise « Woahhh ! ». Su Ji aime les vêtements de ce genre. Mais loin de la femme actif, elle arbore la plus part du temps des tenues de sports qui lui vont à ravir. Il faut dire que c’est sa marque de fabrique. Casquette, pantalon en coton large, leggings, grand t-shirts et sneackers aux pieds. Là où les autres filles auront l’air d’un sac à patate, Su Ji éclate de beauté. Elle apprécie les vêtements originaux dans lesquelles elle est à l’aise. Et qu’elle peut danser dans n’importe le lieu et le moment. Ainsi, Jeremy Scott est son idol ! Adidas est sa marque favorite, néanmoins, elle ne crache pas sur les autres ; nike, puma, reebok… Cependant, ses parures ont un prix, un prix plutôt élevé pour son pauvre portefeuille. Mais aucun souci, Su Ji a trouvé la solution. Un conseil : ne rangez pas votre porte feuille à l’arrière de votre pantalon, il risquerait de disparaitre …
- signes particuliers - Su Ji est percé trois fois à une oreille et quatre de l'autre, touchant ainsi les lobes et les cartilages. Mais son signe de reconnaissance reste ses tatouages imposants aux bras. Le gauche n'est marqué qu'au poignet, tandis que le droit en est recouvert. Des formes géométriques et incompréhensible dont elle a elle-même dessiné les modèles. Tu veux voir ? ici.
Respect des autres ★ ★ ★ ★ ★
Docilité ★ ★ ★ ★ ★
Sensibilité ★ ★ ★ ★ ★
Confiance en soi ★ ★ ★ ★ ★
Sociabilité ★ ★ ★ ★ ★
Sérieux ★ ★ ★ ★ ★
Maîtrise de soi ★ ★ ★ ★ ★
Popularité ★ ★ ★ ★ ★
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Exemple RP - Spoiler:
Il faisait chaud ce jour-là. C'est étrange, car la veille encore, YeHyun se plaignait du mauvais temps. Dame nature fait si mal son travail. Toutefois, le ciel ne laissa guère le moindre rayon de soleil s'échapper de ses lourds nuages. Lourd. Oui, c'était le mot pour qualifier cette ambiance. Davantage renforcé par l'atmosphère de sa cellule, dans laquelle il baignait péniblement. Soit. Le coréen encore à demi endormi, nageait dans son marcel blanc. Il collait à sa peau comme une langue sur un glaçon. La nuit avait été longue entre gémissements, étouffements, et j'en passe des meilleurs. Ses cheveux étaient plaqués sur son front avec acharnement. Des cernes scintillantes décoraient la partie inférieure de ses yeux. Longuement, une perle de sueur se fraya un chemin jusqu'à sa gorge. Un frisson de dégout parcouru son échine, et c'est enfin qu'il décida à se lever. Il sortit avec écœurement de son lit. Les draps étaient humides. Trainant des pieds, il fit un saut aux douches afin de se rafraîchir. Mission accomplie. Il se sentit, aussitôt, soulagé par sa sage décision.
Dans les couloirs, YeHyun se montra alors observateur, ses yeux glissèrent soigneusement sur les murs, sur le visage des personnes. Mais tous semblaient accablés par cette chaleur. Lui aussi. À son regret, la catin fut absente de son champ de vision. De même pour chacun de ses protecteurs. Aucun visage familier en somme. S'en était presque triste, néanmoins, le jeune oublia sur-le-champ ce sentiment qui le menaçait. Alors, la faim au ventre, il se dirigea vers le réfectoire. Comme d'habitude, l'odeur des aliments cuisinés qui s'en dégagée ne le mît pas du tout en appétit. Comme d'habitude, ça allait être fade. Comme d'habitude, il avalerait cette nourriture à contrecoeur.
Une fois son menu "favoris" disposait sur son plateau, il chercha lentement une place afin de s'installer. Ses yeux se portèrent finalement sur une nuque à peine dégagée, et bien familière. Un large sourire se dessina sur ses lèvres affamées. Sa cible, là, servi sous ses yeux. Sans les psychopathes. Ce fut parfait. Enfin, ça aurait pu l'être si les gardiens de leurs regards foudroyant ne surveillait pas le moindre de ses faits et gestes. Il l'était, pour cause, il avait déjà eu des problèmes avec d'autre détenu. Ses veines sous ses tempes le fit voir rouge. Mais à l'aide d'une grande inspiration, il reprit son calme. Soufflant. Discrètement, il s'avança jusqu'à paraitre dans son dos. Le couteau sur son plateau semblait hurler une envie d'être utilisé. Il l'ignora. Une longue minute s'écoula avant son premier mouvement, avant de se pencher sur sa nuque, effleurant sa peau laiteuse de ses lèvres : ses mains étant prises. D'une voix langoureuse, piquée par une once de sadisme, il murmura :
- Coucou toi ...
Il s'assit aussitôt à ses côtés. Son plateau heurta légèrement la table, faisant résonner un doux son de féraille -les couverts. Sa tête se tourna vers lui d'un quart de tour, ses yeux, baissés comme pour lui indiquer son rang, le fusillèrent littéralement. Intentionnellement, le brun ne s'était pas séché les cheveux. Des gouttes d'eau dévalaient alors tranquillement son visage jusqu'au col dans une agréable sensation de fraicheur. Ainsi. Il le toisa comme jamais. Cette catin qui l'avait tant de fois envoyer se faire voir, et même frapper. Quelle insolence. Venant de l'un des "siens", c'était insoutenable. Il inclina légèrement le visage sur le côté afin de l'observer, de le détailler. Ses doigts se glissèrent vers la cuillère. Il pensait sérieusement à faire sauter l'une de ses billes oculaires à l'aide de cette dernière. Effrayant. Mais qui ne l'était pas dans cette prison honnêtement ? La chaleur assommante n'aidait pas. Il se contrôla avec beaucoup de mal, ça se lisait sur son visage. Les lèvres crispées. Une envie. Il ne dit pas un mot de plus pour l'instant néanmoins.
Skamp Age - 18 ans Fréquence de connexion - 7/7; iPhone rules the world Comment avez-vous connu le forum ? Oui, promis, c'est le dernier compte ;_; Autres - ♥ |
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